Le sujet publié sur notre site le 30 janvier 2016 concernant Hamza Driouch a suscité de sa part une demande de clarifier certains éléments, qu’il estime maintenant inexacts…
Le 30 janvier 2016, notre site internet publiait un sujet intitulé « Hamza Driouch charge Jama Aden pour son dopage ». Ce sujet avait été écrit après que nous ayons été sollicités fin septembre via la partie privée de la page Facebook « SPE15 » par un certain « Saeed Drioush », qui nous interpellait en mentionnant « Hamza driouch victims of coach jama aden ».
Comme expliqué dans le sujet diffusé, le contact a été établi avec ce « Saeed Drioush », qui allait s’avérer être Hamza Driouch, et une première interview était réalisée par téléphone le 5 janvier, puis complétée par échanges en direct sur Facebook le 6 janvier.
A la parution de l’article, j’envoyais son lien à Hamza Driouch, et il me répondait par retour « Hello Dear – Yes I read it – Perfect ».
Mais ce samedi 13 février, les donnes ont changé, avec un mail adressé à notre rédaction, par lequel Hamza Driouch souhaite clarifier certains points. Comme il l’explique en préambule, « en dépit que je n’ai répondu à aucun autre journaliste, d’autres journaux ont repris les éléments parus en déformant les faits, en créant des affirmations et des implications inexactes, avec lesquelles je souhaite prendre de la distance. »
Et il précise ainsi deux points
« 1-Les faits à clarifier
- J’ai été banni sur la base d’irrégularités de mon passeport biologique
Aucun médicament n’a été mentionné dans l’accusation
Je n’ai jamais dit que mon problème de dopage datait de 2011
- Mon coach Jama m’a donné des vitamines pour la récupération
Je n’ai jamais dit que j’avais été victime de Jama Aden
Comme je ne sais pas ce que me donnait Jama Aden pour récupérer, je ne peux pas l’accuser de m’avoir donné des produits interdits
2-Toutes les autres histoires et informations données dans cet article sont des inventions et des suppositions.
Dans le cas où des personnes ou des organisations mentionnées dans l’article sont concernées par des éléments leur ayant fait du tort, j’aimerais m’excuser. »
Dont acte.
- Texte : Odile Baudrier
- Photo : Gilles Bertrand